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Last but not least...
22 novembre 2008

Putain deux mois ! Et plus si affinités...

Chers lecteurs,

Au jourd'hui, cela fait maintenant très exactement deux mois, jour pour jour, que je suis en Angleterre ; curieusement, j'ai l'impression qu'il s'est passé moins de temps depuis le 22 Octobre qu'il ne s'en était passé pendant mon premier mois (!) tout en souffrant plus de la distance qui me sépare de mon petit monde strasbourgeois... Allez comprendre ! D'habitude ça va vite quand ça va, non ? Là, c'est comme si mon esprit ne mordait vraiment plus à l'hameçon, depuis Lundi dernier : la vie ici, c'est quand même moins bien.

Par ailleurs, aucun rapport avec la choucroute mais hier je suis allé voir un super concert de funk au global café du RISC ; on était un peu serré mais ça en vallait la peine ! En particulier les Size Nine, un groupe londonnien qui assurait à mort sansse prendre trop au sérieux ! Et tant qu'on y est de parler musique, Jeudi dernier je suis allé à mon premier karaoké, et je remercie une fois de plus les Monty Pythons puisque c'est en chantant Always look on the Bright Side of Life qu'Antoine, Simon et moi avons eu la meilleure note... Je vous laisse imaginer la chose (non, on ne chantait pas les bras en croix ! On le mettrait où, le micro ?!?).

Cette semaine, j'ai également fini mon deuxième bouquin : The Affinity Bridge, de George Mann. Cherchez pas la traduction en France il n'est sorti qu'en Septembre dernier, ici... Mais ça ne m'empêche pas de vous en parler si vous êtes patients ou si vous lisez l'anglais.
C'est le premier roman d'un type qui d'habitude écrit des encyclopédies et des articles pour des magazines de science-fiction et qui s'est dit que maintenant c'était son tour, et il s'en tire plutôt bien, le bougre !

bridgeCe roman est la première investigation de Sir Maurice et de sa charmante assistante Miss Hobbes, qui travaillent tous deux pour la Couronne (celle posée sur la tête de la reine Victoria).

On est donc au tout début du XXe siècle, à Londres, au milieu de la haute société et de ses soirées mondaines, mais également en présence de Scotland Yard, qui enquête depuis des semaines sur des meurtres mystérieux à Whitechapel.

Par ailleurs, SF oblige, le tout est légèrement -très légèrement !- agrémenté de steam-punk, avec un virus transformant les gens en bêtes à tuer (mais on n'en voit pas trop, vous inquiètez pas les filles ! ;-) et des machines dignes des romans de Jules Verne -pour les amoureux de Nantes.

L'enquête est très bien racontée, et l'ambiance victorienne à souhait. Le seul bémol est finalement plutôt positif : les 60 dernières pages passent trop vite ! Il eût fallut quelques pages d'explications supplémentaires ; mais ça colle parfaitement avec le scénario, donc...

Enfin, l'épilogue fait bien comprendre que ce n'est que le début, et donne plus qu'envie de lire le second tome des aventures de ce nouveau duo !

Last but not least, il m'est arrivé quelque chose de trop gros ce matin pour que je n'en parle pas ; je vais rajouter une belle ligne au chapitre "les Anglais ne font rien comme tout le monde", je vous préviens... J'ai fait tomber ma tartine de Marmite pour la troisième fois depuis mon arrivée -maladroit, moi ?-, et pour la troisième fois elle est tombée du "bon" côté -ça dépend si vous aimez çaou pas !... On savait que les Anglais mangeaient de la Marmite, mais vous saviez qu'elle permettait au pain de jouer au chat, vous ?!?

Sur ces bonnes paroles, je vous dis à bientôt pour d'autres nouvelles et souhaite une bonne tempête de neige aux strasbourgeois,

Pensées lointaines mais réelles,

Emmanuel

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Commentaires
F
Mon tendre Manu,<br /> <br /> j'ai vu ta maman il y a peu de temps. Elle est venue déjeuner chez moi ta maman. Allons, ne fais pas le timide et arrète donc de sourire comme cela à chaque fois que je prononce le mot "ta maman". Et oui, pour elle tu seras toujours son petit marmot, son gnaffron tout joli, le plus beau du monde et le plus intelligent en même temps.<br /> Plus sérieusement, ceci est un billet solidaire. Le concept du billet solidaire est le suivant: envoyer un billet (différent du mail") avec le poing levé. Oui, tu as bien lu, le poing levé. Cela signifie donc que je tappe avec une seule main. Le temps est donc considérablement allongé. Tout ceci pour protester contre ta détention aux pays des "rosbifs". Certes, j'ai l'air d'un plouc avec mon bras tendu vers le ciel et mon poing serré, mais qu'importe quand c'est pour un ami tous les sacrifices sont permis!<br /> LIBEREZ MANU LIBEREZ MANU LIBEREZ MANU!
M
tu manges de la marmiiiiite !!!???!!! et au petit-déj ???!!!??? merci de ne pas m'en offrir à Noël - bisou
Last but not least...
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